Mouvement Polynésien
Déjà des Conseils d’établissement ont voté la motion proposée par le Snetaa FO et contre les TRMD proposés par les chefs d’établissements.
L’intersyndicale de l’éducation réunie les 16 et 20 mars 2011 reste mobilisée contre la suppression massive de 177 postes dans l’éducation en Polynésie française qui va peser sur les capacités d’accueil des élèves dans les établissements à la rentrée scolaire 2012.
L’intersyndicale demande au vice rectorat la communication officielle du nombre exact de suppressions de postes après les annonces faites lors de la grève du 9 mars 2012 dans les établissements du second degré et le déplacement à Paris du Vice recteur de Polynésie française à Paris du 9 au 18 mars 2012.
L’intersyndicale demande au ministre de l’éducation de Polynésie française communication officielle du résultat de ses négociations pour obtenir une réduction encore plus significative du nombre de postes supprimés lors de son déplacement à Paris du 8 au 17 mars 2012.
L’intersyndicale s’interroge sur la réelle volonté du pays de lutter contre ces suppressions de postes. En effet, la Direction des Enseignements Secondaires convoque le Comité Technique Paritaire pour y faire valider le dispositif de la rentrée scolaire 2012 (créations, suppressions de postes d’enseignants et de classes, CPE dans les établissements…) sur la base des moyens notifiés le 22 février 2012 par le Vice recteur pour le compte du Ministère de l’Education Nationale, prévoyant la suppression de 90 postes d’enseignants dans le 1° degré, 80 postes d’enseignants dans le 2° degré, 7 postes de CPE pour la vie scolaire (nos établissements compteraient 1 CPE pour 600 élèves contre 1 pour 350 en métropole).
L’intersyndicale demande le report de ce comité technique paritaire au 18 avril 2012 tant que la décision finale sur les moyens attribués à la Polynésie française pour la rentrée scolaire 2012 ne sera pas définitivement actée.
Le Snetaa FO Polynésie se rendra à Paris au Ministère de l’éducation nationale la semaine prochaine pour obtenir des arbitrages moins défavorables à la Polynésie française. Nous dénonçons l’effort imposé à la Polynésie française sans tenir compte de ses particularités géographiques et humaines par le gouvernement central au nom de sa politique de non remplacement d’un fonctionnaire sur deux partant à la retraite. Nous estimons que cette réduction massive de postes met en danger le système éducatif polynésien.
Par ailleurs, la DES vient de transmettre au vice rectorat, à sa demande, 140 dossiers d’enseignants contractuels qui doivent bénéficier d’un contrat à durée indéterminée après plus de 6 années de service continue dans l’éducation. Les collègues en CDI devront occuper un poste dans les établissements à la rentrée scolaire.
Tous ces éléments bloquent le mouvement 2012 : mutations internes, mutation des collègues venant de métropole ou d’autres collectivités d’outre-mer pour deux ou quatre ans, affectation en Polynésie française des stagiaires polynésiens venant de métropole. La préparation de la rentrée scolaire 2012 est retardée, il faut obtenir rapidement des certitudes pour avancer et ne pas compromettre le rendez-vous du mois d’août dans l’intérêt des élèves, des familles, des agents, du système éducatif polynésien.
L’intersyndicale de l’éducation réunie les 16 et 20 mars 2011 reste mobilisée contre la suppression massive de 177 postes dans l’éducation en Polynésie française qui va peser sur les capacités d’accueil des élèves dans les établissements à la rentrée scolaire 2012.
L’intersyndicale demande au vice rectorat la communication officielle du nombre exact de suppressions de postes après les annonces faites lors de la grève du 9 mars 2012 dans les établissements du second degré et le déplacement à Paris du Vice recteur de Polynésie française à Paris du 9 au 18 mars 2012.
L’intersyndicale demande au ministre de l’éducation de Polynésie française communication officielle du résultat de ses négociations pour obtenir une réduction encore plus significative du nombre de postes supprimés lors de son déplacement à Paris du 8 au 17 mars 2012.
L’intersyndicale s’interroge sur la réelle volonté du pays de lutter contre ces suppressions de postes. En effet, la Direction des Enseignements Secondaires convoque le Comité Technique Paritaire pour y faire valider le dispositif de la rentrée scolaire 2012 (créations, suppressions de postes d’enseignants et de classes, CPE dans les établissements…) sur la base des moyens notifiés le 22 février 2012 par le Vice recteur pour le compte du Ministère de l’Education Nationale, prévoyant la suppression de 90 postes d’enseignants dans le 1° degré, 80 postes d’enseignants dans le 2° degré, 7 postes de CPE pour la vie scolaire (nos établissements compteraient 1 CPE pour 600 élèves contre 1 pour 350 en métropole).
L’intersyndicale demande le report de ce comité technique paritaire au 18 avril 2012 tant que la décision finale sur les moyens attribués à la Polynésie française pour la rentrée scolaire 2012 ne sera pas définitivement actée.
Le Snetaa FO Polynésie se rendra à Paris au Ministère de l’éducation nationale la semaine prochaine pour obtenir des arbitrages moins défavorables à la Polynésie française. Nous dénonçons l’effort imposé à la Polynésie française sans tenir compte de ses particularités géographiques et humaines par le gouvernement central au nom de sa politique de non remplacement d’un fonctionnaire sur deux partant à la retraite. Nous estimons que cette réduction massive de postes met en danger le système éducatif polynésien.
Par ailleurs, la DES vient de transmettre au vice rectorat, à sa demande, 140 dossiers d’enseignants contractuels qui doivent bénéficier d’un contrat à durée indéterminée après plus de 6 années de service continue dans l’éducation. Les collègues en CDI devront occuper un poste dans les établissements à la rentrée scolaire.
Tous ces éléments bloquent le mouvement 2012 : mutations internes, mutation des collègues venant de métropole ou d’autres collectivités d’outre-mer pour deux ou quatre ans, affectation en Polynésie française des stagiaires polynésiens venant de métropole. La préparation de la rentrée scolaire 2012 est retardée, il faut obtenir rapidement des certitudes pour avancer et ne pas compromettre le rendez-vous du mois d’août dans l’intérêt des élèves, des familles, des agents, du système éducatif polynésien.
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